Il y a deux jours, Asimo a eu 10 ans: “
10 ans déjà, sans compter le début des recherches depuis 1986… Des fois, j’ai pourtant l’impression qu’il stagne un peu, il sait courir en cercle, sauter pas très haut… Cette frustation est peut-être la preuve la plus flagrante que le développement matériel des robots n’est pas au bout de ses efforts. Je me demande souvent comment Honda arrivera à rentabiliser tous ses investissements.
Et je vais m’arrêter là pour les commentaires généraux, sinon bientôt je vais vous écrire des choses comme ’soyons patients ou devenons roboticiens !’
Honda a mis en ligne trois vidéos de promotions, c’est après le saut. Au fait, vous trouvez pas qu’Asimo donne l’impression de marcher sur des charbons ardents ?
Blague à part, quel est votre ressenti sur les innovations technologiques de la robotique ?
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(Via RobotImpact, toute l’actualité de la robotique.)
Tags: Futur · Robots
Ce transistor de 7 atomes de long va changer le monde !: “
Il ne mesure que 7 atomes de long mais, selon Michelle Simmons, la chef du projet scientifique, les ordinateurs fabriqués avec ce transistor, le plus petit jamais fabriqué (ou presque*), pourront « résoudre des problèmes qui prendraient plus longtemps que la durée de vie de l’univers à un ordinateur classique […]”
(Via Gizmodo.)
Tags: Futur · Guide pratique du XXIe siècle
Le roboplante carbure aux rivières contaminées - Gizmodo -
Le roboplante carbure aux rivières contaminées
Robots. Publié sur Gizmodo.fr par fred le 10 avr 2010 à 10:54
Le roboplante ne s’arrêtera pas tant qu’il pourra se ressourcer auprès d’une source d’eau polluée, à laquelle il boit comme un éléphant.
Son vrai nom est Nomadic Plant, et il s’agit d’un projet artistique de Gilberto Esparza. Alimenté par l’énergie microbienne, le robot vit une vie simple en toute autonomie, en se concentrant sur une unique tâche: trouver des sources d’eau contenant les nutriments dont raffolent les microbes qu’il promène sur son dos et qui produisent son énergie.
Les plus sceptiques diront que c’est juste un robot avec une plante sur la tête. Mais où est le problème? Les robots ont aussi le droit d’avoir des cheveux. [plantas nomadas via we make money not art via technabob]
( Via Gizmodo )
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17 mars 2009 · Comments Off
Le robot qui vise le podium: “

Cette androïde s’identifie comme étant HRP-4C. Retenez bien ce matricule, car elle ambitionne de faire carrière dans le mannequinat. Si si…
Son visage est inspiré des mangas, et elle dispose de 42 moteurs pour pouvoir déhancher sa silhouette sur les podiums. Côté mensurations, elle mesure 1,58 mètres pour 43 kilos. Vu sa petite taille, cela correspond à une silhouette maigre, mais pas dénutrie (du moins si le calcul d’indice de masse corporelle s’applique aux humanoïdes).
Si d’aventure vous souhaitez adopter un HRP-4C pour vos besoins, pensez à préparer 3 millions de dollars. Sinon prenez un billet d’avion pour le Japon et allez l’admirer: elle défilera le 23 mars à Tokyo. [Straights Times via Engadget et Getty Images]
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(Via Gizmodo.)
Tags: Futur · Guide pratique du XXIe siècle · Nouvel humain · Robots
Astroboy à Roboland
Demain soir - Mercredi 18 février - Canal+ diffuse une émission spéciale sur les robots
Copyright Osamu Tezuka
A voir absolument….
Mercredi 18/02 à 22:35
Dimanche 01/03 à 06:25
Lundi 02/03 à 02:35
Tags: Futur · Guide pratique du XXIe siècle · Robots
J’ai voulu tester par principe le G1 contre mon ancien G9 Canon. Si l’encombrement du G1 de Panasonic n’est pas comparable au G9 car l’objectif non rétractable impose un encombrement particulier à l’ensemble,
toujours est-il qu’il est tentant de tester la différence de taille de capteur sur le bruit en haute sensibilité.
De fait les images suivantes sont sans appel. Le Panasonic G1 est susceptible d’offrir quelques avantages dans ce domaine. A 800 iso l’image du peigne ne souffre aucune comparaison.
La scène ci-dessous est prise dans des conditions de lumière naturelle à 800 ISO avec les deux appareils : Canon G9 et Panasonic DMC-G1.
Le choix de la sensibilité pour ce test très rapide correspond à la limite haute que j’utilise d’ordinaire avec les compacts de dernière génération. Le bruit lié au capteur devenant par trop difficiles au delà, voire parfois franchement inacceptable en fonction des modèles.
Pouvoir photographier à 800 ISO est donc à mes yeux une limite sur ce type d’appareils, encore faut il que cette sensibilité donne des résultats visuellement acceptables.
Un crop du peigne avec le G9
Le même avec le G1
Mieux peut être la réduction de bruit donne de très bon résultats sur ces fichiers et en renforce l’intérêt. Ci dessous l’image traitée par Noise Ninja.
Il ne s’agit pas ici de juger des qualités respectives des deux appareils (j’adore la série G de Canon depuis mon premier G2), ni même de montrer l’intérêt d’un capteur plus grand, mais de montrer l’intérêt, et c’est tout l’argument peut être de Panasonic et d’Olympus, qu’il y a à combiner la réduction de la taille de boîtier, avec des capteurs 4/3, et APS par exemple et à permettre la gestion d’optiques interchangeables.
Seul petit problème avec les optiques proposées, l’ouverture assez faible, il faudra certainement attendre un peu pour obtenir des optiques fixes, plus ouvertes, un 12mm, un 17mm, 1.4 ou 1.8, en format 4/3, le futur 20mm, 1.7 voire un 25 très ouvert auraient ma préférence.
Le G1 confirme ce que je pense depuis longtemps, concernant de futures gammes mariant ces trois caractéristiques, taille réduite, optiques interchangeables, capteur de taille correcte. Elles répondent à une véritable attente et elle peuvent offrir une amélioration notable de la qualité d’image. Il est toujours rassurant de savoir que l’appareil que l’on prend dans le sac au quotidien, pourra assurer une qualité d’image suffisante dans tous les cas.
Tags: Hardware · Photo
La technologie e-paper, n’a pas encore percé que déjà les évolutions futures se font jour, dans les laboratoires au moins.
e-Paper est une technologie Xerox de restitution des caractères sur un support souple qui doit servir de support naturel à toutes sortes de livres et publications électroniques.
Ces deux aspects sont à prendre en compte respectivement. La capacité à restituer une image noir et blanc d’une qualité et d’une stabilité telle qu’elle permette une lecture confortable des caractères. L’autre aspect de la technologie est la capacité d’encapsuler cette technologie dans des supports souples et fins. Des supports qui se tourneraient comme des pages et seraient dans leur usage assez ressemblant à nos journaux d’aujourd’hui.
Roulé dans un sac, mon périphérique e-paper se connecterait rapidement au kiosque le plus proche pour stocker dans sa mémoire mon journal du soir préféré. A moi de le déplié pour lire mon journal, pratiquement à l’ancienne. Tel est en tout cas le concept d’origine tel qu’il a été présenté il y a une dizaine d’année maintenant, à une époque, ou wifi, bluetooth, 3G, n’était pas encore des technologies si répandues.
Le second point en tête de cet article est l’annonce du premier e-paper couleur basé sur un technologie de nanotubes de carbone, plus simple à produire. Si ceci était prévu de longue date, et que de nombreuses sociétés travaillent aujourd’hui sur ces projets, ceci est malgré tout une avancée technologique importante car jusqu’à une époque récente les e-paper polychromes, jouaient essentiellement sur l’adjonction de filtres à une couche noir et blanc.

Maintenant je vais vous dire pourquoi je considère que ceci est un tournant. Si nous avons connu les livres électroniques depuis quelques années avec de fortunes diverses, nous n’avons pas encore vu de magazines transférés sur e-ink. Nous n’avons pas vu d’affiches publicitaires sur e-paper, ou tout simplement des notices, des annonces, etc. Bien que technologiquement faisable à l’heure actuelle, aucune entreprise ne semble nous le proposer (à quelques rares exceptions) ou s’en servir quotidiennement. Peut être manquait il un apport essentiel au développement général de cette technologie : la couleur.
Ce n’est plus simplement votre journal ou un livre sans illustrations que vous pourrez bientôt télécharger, mais bien l’ensemble des écrits potentiels que représentent la presse magazine, les publicités et catalogues de Noël.
Ceci sur un support souple, que vous pourrez emporter avec vous, photocopier (pourquoi pas après tout ?), lire à plusieurs s’il est assez grand.
D’autres applications se feront jour, j’ai déjà évoqué plus haut la publicité ou la communication d’entreprise, mais ce pourront être aussi avec quelques raffinement de la technologie toutes sortes de surfaces qui pourront devenir communicantes et surtout changeantes : vitres, revêtements de carrosserie soit pour la décoration, soit pour la publicité.
Il devrait être possible à terme, en fonction encore une fois des avancées technologies d’utiliser ces technologies comme des compromis simples pour l’obscurcissement des vitres, peut être sous certaines conditions pour faire de l’affichage tête haute dans des sandwich assez fins pour permettre des affichages sur un pare-brise ou sur une vitre.
L’un des intérêts initiaux des technologies e-paper était de permettre un affichage stable, sans énergie, des informations initialement chargés sur la page. En clair, votre journal téléchargé, reste affiché jusqu’à ce que vous vous décidiez à l’effacer et ce sans consommer vos précieuses batteries. De même pour une vitre opacifiée le soir qui reste dans un état stable jusqu’au matin suivant (et ne risque pas par le jeu malheureux d’une coupure de courant de vous laisser nu(e) au milieu du living.
l’e-Paper est une vraie technologie d’avenir, pour laquelle nous n’avons pas fini de voir apparaître des applications nombreuses dès lors que tous les outils semble proche de la convergence nécessaire et j’en cite quelques uns : piles et batteries de très grande autonomie, technologies multiples sans fils pour le chargement des données à afficher, finesse et souplesse du support, miniaturisation toujours plus grande des composant qui devrait peu à peu faire disparaître les lourds boitiers qui entourent jusque là cette technologie.
De même le kiosque à journaux de demain sera virtuel et universellement disponible partout où il existe une forme d’accès réseau sans fil. A méditer peut être.
Quelques liens :
Un article de 2007 sur l’e-paper
Communication portable/e-Paper
D’autres exemples technologiques d’application e-Paper et aussi essai de publicité à Tokyo
L’offre actuelle des Echos
Tags: Futur
IA - SHS : Au delà de l’intelligence humaine.: “
La ‘Singularité’ est à l’origine un phénomène mathématique, souvent utilisé en physique théorique. C’est le moment ou la description d’un objet cesse d’être possible parce qu’une ou plusieurs des variables qui le décrivent deviennent infinies (c’est ce qui se passe lorsqu’on divise par zéro).
La ‘Singularité technologique’ a été popularisée par Vernor Vinge,dans un article qui est devenu la référence sur le sujet. Vinge, mathématicien et auteur de sciences fiction, postule que l’évolution exponentielle de la technologie atteindra bientôt un point au-delà duquel il ne nous sera plus possible de l’appréhender.
En extrapolant la loi de Moore, qui implique un doublement de la puissance de calcul tous les 18 mois, l’homme aura créé en 2035 une intelligence supérieure à la sienne. Nous rentrerons alors dans une autre ère que celle de l’intelligence humaine !
Cette idée, jusqu’ici jugée folle ou sans intérêt, est aujourd’hui respectable et respectée par le milieu scientifique.
La Singularité : une rupture vers un nouveau monde
La Singularité vient récemment de faire la Une d’un numéro spécial de la célèbre IEEE Spectrum et du New Scientist.
Une reconnaissance inattendue pour une théorie qui est encore renvoyée au rang des délires pour nombre d’enseignants et de chercheurs de nos universités, voire de notre Institut.
Libellés : ia, robot, shs, épistémologie, éthique
posted by Bernard Claverie - IdC_Bordeaux_2“
(Via Institut de Cognitique - Pages non officielles.)
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IA : le robot fait le ménage.: “

Le robot ‘Readybot‘ va nettoyer votre cuisine … La preuve que l’artificiel est bien loin encore de l’humain.
Voir le film.
Libellés : ia, robot
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(Via Institut de Cognitique - Pages non officielles.)
Tags: Robots
BIO - IA : Brain-robot interfaces.: “
L’équipe de Andrew Schwartz, du motorlab de l’université de Pittsburgh en Pennsylvanie, vient de publier dans Nature les résultats d’une expérimentation liant le cerveau à un système robotisé. Des singes parviennent ainsi à bouger un bras robotisé grâce à des électrodes implantées dans leur cerveau, pour réaliser des actions complexes en trois dimensions. Les pistes d’application sont nombreuses pour le handicap ou la commande directe d’artefacts par l’activité cérébrale.
Voir une vidéo.
Libellés : bio, cerveau, ia, ihm, robot
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(Via Institut de Cognitique - Pages non officielles.)
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